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Mon coeur bat pour le Liban


24… 25… on n’est pas arrivés à 26 ! Le 26ème salon du livre francophone de Beyrouth, - du 9 au 17 novembre 2019 -, avait été annulé pour cause de troubles politiques et sociaux. La 27ème édition, celle de novembre 2020, (maintenant !), on n’en parle, « même pas en rêve » ! Les troubles sont devenus marasme et en plus du Covid qui nous tient tous en coupe réglée, il y a eu cette horrible explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020, et le pays, qui n’en redemandait pas, a été mis à genou.


Cette année, donc, je pense au 27ème salon du livre francophone de Beyrouth de novembre 2020, à cette édition qui n’a même pas été conçue, à tout ce que nous aurions pu partager autour de ce thème fondamental de la littérature et de la transmission des savoirs par la traduction.


Je pense à tous mes amis libanais, Nassib Aoun mon traducteur en arabe, sa femme Thérèse, sa fille Maïa, Ghazi Berro mon éditeur en langue arabe, Paule Hekayem de la librairie Le Point, Antoine Messarra, juriste sociologue et écrivain, Roula Zoubiane, professeur à l’université libanaise et essayiste, ma copine Rosine, Imane ma pharmacienne de Paris, tous très inquiets.


Je pense à Beyrouth aussi, ville millénaire, berceau de l’humanité.


Liban et libanais, nous sommes de tout cœur avec vous !



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